Pour toute application haute productivité, en usinage ou en assemblage, nous développons intégralement des machines transfert industrielles numérisées.
Plusieurs pièces sont usinées ou assemblées simultanément par des unités numérisées autour d’un plateau Tech&Tech à entrainement direct, on divise ainsi grossièrement le temps de cycle par le nombre d’unités.
Nous sommes fiers de ces machines, dont certaines tournent encore après plus de 30 ans chez nos clients.
Les machines transfert d'usinage peuvent travailler soit à partir de barres ou de profilés de matière (on tronçonne au premier poste les lopins qui se retrouvent sur le plateau). Dans ce cas la matière peut être enroulée en torche pour une autonomie maximale. Sinon, on peut l'aprovisionner grâce à un embarreur. Le chargement peut aussi se faire grâce à des systèmes de bol vibrant, tapis d'accumulation, ou robot 6 ou 4 axes (scara).
Pour les machines de transfert d'usinage travaillant en environnement propre, on peut dévraquer les pièces en tracking : les pièces en vrac sont convoyées sur un tapis, un système de reconnaissance vision détecte les pièces en mouvement, et donne l'information à un robot qui vient chercher une pièce sans arrêter le convoyeur, pour permettre des temps de cycle courts.
Selon votre application, nous pouvons intégrer des technologies spécifiques dans nos machines à transfert, telles que le fluoperçage. Dans cette application, le fluoperçage est entièrement numérisé, et asservi, grâce à capteurs d'efforts intégrés dans les coulisses et gérés par la CNC. Inspiré des process de rivetage appliqués pour l'assemblage de grandes pièces aéronautiques, ce process donne une précision inégalée au fluoperçage.
Pour les applications de tournage, nous pouvons intérger des têtes récessing numérisées, ou des têtes à aléser.
Nous pouvons également intégrer des contrôles, si ceux-ci sont possibles dans l'environnement hostile de la machine, et même asservir les usinages en fonction du résultat de mesure, en boucle fermée.
